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A quel âge faut-il avoir un 3e pilier et penser à sa prévoyance ?

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En Suisse, le système obligatoire de prévoyance retraite ne permet pas de couvrir 100 % des besoins. Il est donc utile de vous constituer une épargne afin de prévoir un complément de revenu qui soutiendra les rentes AVS et LPP. C’est là qu’intervient le 3e pilier. Mais à partir de quel âge est-il opportun de mettre de l’argent de côté ? Quand on entre dans la vie active, il est certes difficile de penser déjà à sa retraite. Pourtant c’est fondamental. Plus tôt vous vous y prenez, plus vous avez de chance de disposer d’un capital suffisant pour maintenir votre train de vie sans avoir à travailler plus longtemps.

Les conditions pour ouvrir un 3e pilier

Revenons d’abord sur les conditions légales qui encadrent l’ouverture d’un 3e pilier lié. Cette solution vous donne droit à des avantages fiscaux, les primes étant déductibles de l’impôt sur le revenu, mais il est quelques critères à respecter, notamment au niveau de l’âge :

  • Vous devez avoir 18 ans. Au plus tôt, vous avez le droit d’ouvrir un 3e pilier 3A le 1er janvier qui suit votre 17e anniversaire.
  • La fin du contrat est prévue à l’âge légal du départ à la retraite. Elle peut être anticipée de 5 ans ou repoussée de 5 ans.
  • Vous devez avoir une activité lucrative avec un revenu AVS et imposée en Suisse.

A savoir que les travailleurs indépendants sans 2e pilier ainsi que les travailleurs frontaliers ont aussi le droit d’ouvrir un 3e pilier lié.

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Les solutions possibles pour épargner pour son enfant avant 18 ans

Deux solutions principales s’offrent à vous : le compte épargne classique, ouvert dans une banque, ou l’épargne assurance, laquelle peut prendre la forme d’un 3e pilier libre (3B). Voici ce qu’il faut retenir de ces trois formules :

  • Le compte épargne classique dans une banque: il est ouvert au nom de l’enfant. A la majorité de ce dernier, soit à ses 18 ans, il pourra récupérer le capital et en faire ce que bon lui semble.
  • L’épargne assurance enfant: elle est souscrite dans une compagnie d’assurance. Le preneur d’assurance peut être un parent, mais aussi un grand-parent, une marraine, un parrain, un oncle, voire un ami proche. L’enfant est quant à lui désigné bénéficiaire. Le contrat d’assurance est souscrit sur une durée déterminée, par exemple pour courir jusqu’à ses 18 ans, voire ses 20 ou 25 ans. A échéance du contrat, le capital est récupéré par le preneur d’assurance, qui pourra alors le reverser au bénéficiaire.
  • Un 3e pilier libre (3B): lui aussi est souscrit dans une assurance. Il fonctionne de la même manière qu’une épargne assurance classique. L’enfant est désigné comme bénéficiaire par le preneur.

Les avantages d’un 3e pilier libre assurance

Le 3e pilier libre 3B est généralement considéré comme la solution la plus avantageuse pour constituer un capital pour son enfant. En effet, cette formule de prévoyance prévoit que :

  • A échéance du contrat, le preneur d’assurance garde le contrôle de l’argent, ce qui peut rassurer certains parents.
  • En cas de décès du preneur d’assurance, l’enfant bénéficiaire a la garantie de récupérer la totalité du capital prévu à l’échéance du contrat.
  • En cas d’incapacité de gain (chômage, maladie, accident) du preneur, c’est la compagnie qui prend le relai des versements des primes et le capital continue à se construire
  • Le taux d’intérêt du 3è pilier est souvent plus intéressant qu’avec un simple compte épargne bancaire.
  • Avec un produit de placement, il est possible d’optimiser les gains avec un meilleur taux de rendement.
  • Dans certains cantons (Genève et Fribourg notamment), les primes peuvent être déduites de votre impôt sur le revenu.

Un 3e pilier à 20 ans

Pour un jeune qui entre dans la vie active, la retraite n’apparait pas encore comme une priorité. Pourtant, il est vivement conseillé d’épargner le plus tôt possible afin d’éviter les déconvenues. L’espérance de vie allant grandissant, les rentes prévues par les 1er et 2e piliers ne suffiront pas. Mieux vaut donc investir dès maintenant et faire fructifier un capital sur le (très) long terme. Vous privilégiez ainsi l’endurance en étalant l’effort d’épargne tout au long de votre vie active.

Dès que vous gagnez un revenu régulier, il est donc recommandé d’économiser pour l’avenir, même de petites sommes, notamment à travers un 3e pilier. Avec un 3e pilier lié 3A bancaire, vous aurez la possibilité de verser des sommes d’argent au rythme qui vous convient, sans aucune obligation si ce n’est le respect des plafonds fiscaux en vigueur. Et avec la prévoyance liée, le capital peut être retiré de manière anticipée pour financer l’acquisition d’une résidence principale ou un départ à l’étranger. C’est pourquoi le 3e pilier lié 3A, qui offre des déductions fiscales, est souvent choisi par les jeunes.

Un 3e pilier à 30 ans

A 30 ans, un 3e pilier assurance peut être l’occasion de protéger ses proches. En effet, les assurances prévoient des garanties décès et incapacité de gain. Ainsi, en cas de coup dur, enfants et conjoint sont à l’abri, car la compagnie d’assurance prend le relai des versements de cotisations et les bénéficiaires auront la certitude de toucher le capital prévu au contrat. Qui plus est, une solution de prévoyance en assurance vous permet de désigner vos héritiers en cas de décès, ce que ne permet pas le 3e pilier lié. Celui-ci suit en effet les dispositions légales en matière d’ordre des bénéficiaires.

Un 3e pilier après 40 ans

Il est possible d’ouvrir un 3e pilier à n’importe quel âge. Mais à 40 ans, votre situation peut relever de ces cas « spéciaux » qui ne sont pas toujours simples à gérer. Ainsi, vous êtes peut-être en passe de devenir indépendant, ou vous avez passé de nombreuses années à l’étranger ou cumulé des périodes d’inactivité. A 50 ans, penser à sa retraite devient presque naturel et la capacité d’épargne est généralement plus importante qu’en début de carrière, car le salaire est plus élevé. Les économies fiscales offertes par le 3e pilier deviennent alors intéressantes. Les fonds épargnés peuvent aussi servir à racheter des cotisations dans le 2e pilier.



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